Ce matin (un peu humide), changement de lieu. Rue Gratès. C’est la rue de la Vénerie.
Un quartier où personne ne me connaît.
Un quartier où je suis transparent.
Et, à mon étonnement, une rue extrêmement sale. On est pourtant tout près de la rue du Bien-Faire…
Cannettes et mégots bien sûr, mais aussi, que je n’avais jamais remarqué autant ailleurs, des papiers de bonbons. Des dizaines de papiers de bonbons.
Arrivé au bout de la rue, mon sac est plein.
Devant moi, l’avenue Van Becelaere, où je ne vois rien au sol. Il suffit d’un carrefour ?