Sorti des bras de la sœur de Morphée, d’humeur badine dans le petit matin, mais bientôt tout change ; par le rythme de mes pas, la douceur tendre des pensées vagabondes élargit le temps et l’espace. Dans ce quartier que je crois connaître comme ma poche, je passe par des venelles jamais arpentées,...
« Chaque semaine, des milliers de cartes plastifiées sont apposées aux fenêtres des voitures de nos quartiers. La majorité de ces cartes se retrouvent au sol, puis dans les avaloirs. Un poison pour l’environnement. Je propose que nous, les citoyens, prenions les choses en mains. Ca ne coute rien....
Jacqueline était, ce matin, dans les venelles Emérillons, Ibis, et autour de l’ancienne maison de Pâ pour ceux qui connaissent (Miraval) pour une belle action propreté ! 2 sacs de déchets collectés et les encombrants rassemblés ! Merci Jacqueline d’avoir encore embellit le quartier...
Chassé de mon lit dès l’aube par les bons anges de ma nuit qui ont clairement l’intention de prendre ma place, attiré par les oiseaux plutôt en mode musique de chambre dans le petit matin (c’est vraiment très différent de l’autre jour), je pars sous la belle promesse du bleu. Le saule pleureur est...
Une promenade propreté du Dries jusqu’au Calypso en passant par la place Keym.Un sac de déchets récoltés par Véronique !
2 sacs de déchets récoltés et des encombrants rassemblés dans le quartier des Trois Tilleuls.Merci Jacqueline d’avoir encore embelli le quartier !
J’ouvre ma fenêtre dans le tôt matin, et c’est la symphonie fantastique des oiseaux. Il faut sortir ramasser en écoutant tout ça. J’emporte mes oreilles, et chasseur-cueilleur, j’avance, je regarde, j’écoute. Le vent doux fait pourtant voleter mon sac tout léger ; pas longtemps, il est...
2 sacs de déchets récoltés et des encombrants rassemblés dans le quartier des Trois Tilleuls.Merci Jacqueline d’avoir encore embelli le quartier !
En octobre 1974, Georges Perec s’est installé pendant trois jours place Saint-Sulpice à Paris ; il a noté tout ce qu’il voyait. Je suis tenté de faire de même, mais les yeux au sol, je ne vois pas grand-chose d’autre que ce que je ramasse. Pour voir, il faut s’arrêter. Alors je m’arrête...