Aujourd’hui, je devais faire le facteur ; difficile d’être à la fois à la pince et aux boîtes.
Ce n’est pas du tout le même état intérieur, et je préfère vraiment celui du ramasseur. C’était donc une bonne expérience à faire, entre les deux mon cœur ne balancera plus.
Au retour, je me suis seulement arrêté à l’entrée du Chant des Cailles pour remplacer le sac mis à leur disposition. Il a duré près d’un mois. Ce lieu est décidément inspirant sous tous rapports. Combien je le remercie d’exister.