Tandis qu’à l’autre bout de la commune un morceau de sucre reçoit une goutte de poésie, les liserons ont été pourchassés comme il se doit au Chant des Cailles.
Et pour éviter de les voir repartir de plus belle ailleurs, disposés dans un sac noir où ils sont venu compléter du tout venant venant de tout.
C’est tout ?
Oui, c’est tout. Ce n’est pas assez ?
Si si.