Aujourd’hui, rien. Ou plutôt, un réveil aux contours tristes, un rideau qui ne veut pas s’ouvrir et empêche la rêverie de se déployer.
Alors rien, rien à écrire.
Allons, la rue n’y est pour rien ; juste une autre couleur de jour à accueillir.
Pourtant, une petite fenêtre qui s’ouvre, un rappel bienvenu de ce rabbin qui en toutes circonstances, même les plus dramatiques, disait : « Ça aussi c’est pour le bien. » D’accord.
Et puis, la rue est propre, et il y a le soleil à saluer, donc…