Dès le tout début de mes ramassages, Aurore et Jérémy ont proposé que « rose » soit la couleur de mes errances.
En ces jours d’avril, roses sont les rues de la cité. Parfaite concordance.
Et les autres couleurs : Côté vert, presque rien ; côté jaune, guère plus. Ma balade est nettement plus longue qu’il y a quelques mois, les rues et venelles sont presque propres. Je remercie toutes celles et tous ceux qui les nettoient, citoyens et professionnels, et les habitants qui très probablement sont plus respectueux de la vie.
Je dépose mon sac place du Colibri ; quelques minutes à rêver sur un des deux bancs.
Et au retour, oh ? Un petit poucet. Et l’action subséquente.