Parti un peu trop vite, puis à me demander pourquoi, et poursuivre très lentement. Je pense que, contrairement aux dix premières minutes, plus aucun mégot ne m’a échappé.
1er juin et déjà chantant « Joli mois de mai quand reviendras-tu ? »
Je me demande si un parfumeur supporterait d’être balayeur.
Au retour, collecte des cartons fraîchement apposés aux vitres des voitures.
Envie d’un grand verre d’eau.