Mon état d’être humain, par définition lacunaire.
Et, partant, mes incompréhensions.
Pourquoi, malgré le chant joyeux des oiseaux et le ciel bleu, pour une phrase peut-être même pas mal intentionnée, j’ai les nerfs en pelote ?
J’ai beau, ensuite, marcher lentement dans les rues de ma cité à ramasser tout ce qui traine, rien n’y fait, rien ne me calme.
Le retour à vélo un peu plus, quand même.
Et puis, il suffit d’un coup de téléphone pour tout résoudre.
Et puis, surtout, quelques rues sont plus propres qu’avant mon passage.
Il est question de ne pas en faire une affaire personnelle…