En deux heures et à quatre mains, faire d’un trou qu’aucun qualificatif ne semble pouvoir décrire un écrin enchanteur, où il ne manque presque rien pour qu’un poète y vienne chanter « C’est un trou de verdure où chante une rivière » (Rimbaud).
Il y avait de quoi faire, jusqu’à l’inimaginable. Au point que si nous y avions trouvé l’un ou l’autre raton laveur, et en supposant qu’Aurore soit végétarienne, nous aurions pu reprendre au grand complet l’ « Inventaire » de Jacques Prévert.
Merci Aurore pour ce temps partagé.