Bourdonnantes, par dizaines, les abeilles ambassadrices de propreté avec leurs gilets jaunes, et c’était comme une ruche supplémentaire dans le petit bois de Catherine.
Celles-là ne feraient pas de miel à proprement parler, mais c’était miel quand même, cette joyeuse bande tornadant babillant nettoyant la zone en moins de temps qu’il n’en faut pour l’écrire.
Et puis, sur la lancée, voici l’avenue des Cailles propre et lavée.
Et à se revoir bientôt, puisque d’autres lieux nous attendent.
On n’a pas fini de rire ; on n’a pas fini d’embellir ; on n’a pas fini d’être bien, ensemble.