J’ai changé d’itinéraire.
Il y a des rues toutes propres dans ma cité. J’y ai marché sans m’arrêter, lentement bien sûr, laissant toute la place à ma rêverie.
Il y a des rencontres douces, de beaux échanges, de la frater/sisternité.
Il y a le ciel bleu et de très beaux nuages.
Il y a le temps lent, la douceur de vivre.
Il y a un vendredi sur la terre, à s’y trouver tellement bien.